POSTE :POSTES D’ENSEIGNANTS QUALIFIÉS POUR L’ANNÉE SCOLAIRE 2023-2024
SERVICE :OPÉRATIONS SCOLAIRES
SALAIRE : DE 46 527$ À 92 027$ SELON LES QUALIFICATIONS ET L’EXPÉRIENCE
CONCOURS N°:BANK 2023-2024
LIEU DE TRAVAIL:DANS UNE DES COMMUNAUTÉS DU NUNAVIK
STATUT:RÉGULIER ET REMPLACEMENT À TEMPS PLEIN
DATE DE DÉBUT :DÈS QUE POSSIBLE
Kativik Ilisarniliriniq est une commission scolaire proposant des services éducatifs dans les 14 communautés du Nunavik.
Vous terminez vos études en enseignement cette année? Ou vous êtes un enseignant à la recherche d’un souffle nouveau dans votre carrière? Si oui, nous sommes la commission scolaire que vous recherchez!
Nous sommes à la recherche d’enseignants passionnés et créatifs pour la prochaine année scolaire aux niveaux primaire et secondaire dans les secteurs français et anglais.
MATIÈRES ENSEIGNÉES:
QUALIFICATIONS :
Un brevet d’enseignement, un permis d'enseigner ou une autorisation provisoire d'enseigner valide au Québec ou l’équivalent d’une province canadienne.
La Commission scolaire peut à son gré ne pas tenir compte des qualifications précitées si elle juge adéquate la candidature d'une ou d'un bénéficiaire de la Convention de la Baie James et du Nord québécois (CBJNQ) et que la personne accepte de suivre un programme de formation déterminé par la Commission.)
EXIGENCES:
CLASSIFICATION / SALAIRE / AVANTAGES SOCIAUX :
Le salaire et les avantages sociaux sont conformes à ceux proposés dans la convention collective des enseignants de la commission scolaire, entre 46 527 $ et 92 027 $ par année, selon l’expérience et les qualifications.
En plus du salaire, vous pourriez être éligible à des avantages sociaux tels que :
Et, lorsqu’applicable, à d’autres avantages sociaux tels que :
Intéressé à nous rejoindre dans cette aventure unique et enrichissante ?
Pour postuler :
Pour postuler :
Envoyez votre CV à applications@kativik.qc.ca et indiquez BANK2023-2024 dans l'objet du courriel.
Nous communiquerons seulement avec les personnes dont nous aurons retenu la candidature.
*L’utilisation du masculin aux présentes découle uniquement d’une volonté de simplification linguistique